Et ce coup ci placent trois de mes albums dans leur top. Merci à eux http://anotherzik.blogspot.com/2019/12/top-albums-de-la-decennie-2010-2019.html
dimanche, décembre 29, 2019
vendredi, décembre 27, 2019
mardi, décembre 24, 2019
lundi, décembre 23, 2019
Nouveaux albums solo
Le mixage de mon prochain album est prêt, ainsi que celui d’après.
Le premier à sortir sera instrumental et publié le 20 février en vinyle et digital. Le second, que je publierai certainement deux mois plus tard s’appelle « les sessions du Carreau capturées par Cléa Vincent ». Je ne sais pas dans quel format il sortira. Cela dit les pochettes des deux albums sont terminées.
Le premier à sortir sera instrumental et publié le 20 février en vinyle et digital. Le second, que je publierai certainement deux mois plus tard s’appelle « les sessions du Carreau capturées par Cléa Vincent ». Je ne sais pas dans quel format il sortira. Cela dit les pochettes des deux albums sont terminées.
vendredi, décembre 20, 2019
La Compagnie Vérole
La Compagnie Vérole est un avatar fictif pastiche inventé, dessiné par Valérie Hernandez qui écrit et chante la chanson, dans le cadre de ce collectif/label/compilation Craignos. J’ai joué les musiques de sa chanson. On a ri. Craignos a 9 ans. C’est un espace de liberté musical.
http://www.deezer.com/album/122790752
http://www.deezer.com/album/122790752
Les masques Craignos et autres
Vers 2006, et ce blog en témoigne, nous avions pour habitude, avec mon ami Youssef Abado, de fabriquer des groupes sur mesure. Cette coutume venait d’un souci de disponibilité des musiciens avec qui nous jouions et d’un contexte de programmation qui nous obligeait à une rapidité de réponse face aux programmateurs de concerts. Nous recevions des demandes, ou bien des réponses à nos démarchages, et nous savions qu’il fallait valider les agendas au plus vite. Cela permet de remplir le planning et aussi de faire savoir que le planning se remplit. Les engagements appellent les engagements. Alors dans nos groupes respectifs nous utilisions la formule des musiciens remplaçants. Je jouais à cette époque principalement en solo, ou alors sous mon nom « KIM » accompagné de musiciens , ou alors comme banjoiste chanteur de Cocktail Bananas. Youssef venait de monter le Royal Woodpecker dans lequel il m’engageait à la batterie et Nicolas, le troisième membre du Royal Woodpecker avait son groupe, Les Wackies. Nous cherchions des engagements partout et étions à nous trois une agence de booking non officielle. Nous pouvions jouer 150 fois par an. Et beaucoup grâce à la technique des remplaçants. Plusieurs musiciens connaissaient nos répertoires, et nous nous remplacions mutuellement. C’est à cette époque que j’ai senti que le nom d’un groupe, projet, ou interprète, pouvait influencer l’écoute de l’auditeur. La musique prend forme grâce aux musiciens qui la jouent, oui. La suite du chemin, cela dit, est fait par l’auditeur, qui décide ou nom de faire marcher son imagination. Si on lui donne quelques outils en plus, il s’invente un décor et peut modifier sa propre perception de la musique, rien qu’avec un costume, un nom, une couleur. Vers 2007 j’essayais donc de me servir d’internet et son anonymat pour créer un de mes premiers avatars. J’avais une réputation de musicien folk, à Bordeaux, de musicien de rue. Dans le reste de la France, on m’associait à la lofi. Une musique peu énergique et peu programmée. Je venais pourtant de sortir des disques rock et au potentiel scénique énergique mais je peinais à trouver des dates pour mon répertoire sous le nom de « KIM ». D’ailleurs coté labels je ne trouvais plus trop non plus de producteurs. J’ouvrais alors une page sur le site de myspace avec comme nom « Don Lee Doo ». Le simple fait de me ré inventer tout neuf me donnait une grande motivation et une grande liberté. C’est cette page qui a attiré des contacts. Je venais de prendre un virage new wave funky et personne n’a su d’où venait cet avatar, « Don Lee Doo ». J’ai contracté de nouveaux contacts tout frais, en labels et en clubs, ainsi j’ai transformé le répertoire de « Don Lee Doo » en répertoire personnel, j’ai levé le masque et « Don Lee Doo » est devenu un titre pour mon album de 2008.
En 2009 j’ai eu l’idée d’une chanson pour un avatar qui s’appelait Robot Caca. Le digital battait son plein et je découvrais que j’avais un contrat de producteur digital signé en 2006 plus ou moins par hasard. J’avais le refrain de la chanson, et les accords. Mais je ne savais pas construire le rythme electro, utiliser le vocoder et n’avait pas d’idée de groove. Ni couplet. Mon ami Guillaume Brière m’aida à terminer le titre. Pauline Automatique dessina le robot, Hugo Berrouet fit un clip et je lançais le single sur les plateformes. L’éditeur de Cocoon signa le titre et lança une campagne. Il y’eut un petit buzz internet et je me rendais compte que, flanqué d’un complice capable de créer une image, je pouvais inventer des avatars. J’avais justement dans mes cartons des chansons étranges dont j’imaginais des interprètes fictifs. J’avais une chanson pour un faux Brassens et une autre pour un faux Trust, encore une autre pour un faux Zebda. J’inventais Béton Plastic et Jean Pierre Fromage avec l’aide de Pauline au graphisme. Je jouais le rock garage pour Béton Plastic en chantant avec l’accent parisien, et jouais la chanson sous le nom de Jean Pierre Fromage avec un accent du Tarn. Puis j’ai continué. Je créais ensuite un faux Gainsbourg, un faux groupe de Pop française « Vide Merde » et un groupe electro rock « babanes eud Shkaks ». Au bout d’un moment j’avais quelques personnages et je fabriquais une compilation avec l’aide de Gael Etienne pour le logo. « Craignos, le pire de la scène française » sortait en 2012. Rempli de personnage que j’avais inventés. La même année je fabriquais un avatar pour mes musiques electro faite à l ´Ipad « Laptop Sisters » et un pour la new age « Calme » en espérant que ces avatars deviennent peut etre de vrais groupes. Rémi Foucard et Valérie Hernandez ont participé à quelques enregistrements de Calme. J’ai continué à inventer des masques. MK Machine Music pour mon masque de musique electro acoustique, car j’avais toujours fantasmé de faire un album dans ce genre là, Romuald Banjo et Ronaldo Banjo pour le bluegrass. Puis j’inventais Les Clopes, avec un accent nantais et une musique pop new wave francophone, Maximum Cagole avec un aspect festif et un accent du Sud, Michel Bonsoir pour un sketch, Christian pour faire une chanson à mon personnage poulet que je dessine dans mes tableaux. En 2013 je sortais donc un volume 2 de Craignos. Il y’en a eu 4 en tout. Quelque personnages n’ont qu’une seule chanson, comme Bobby Labite le pénis chantant, ou Micheline Paclair cette chanteuse pianiste à la diction incompréhensible. En 2016 j’inventais aussi Charles Ezeimer, chanteur tragique.
Depuis 2012, coté scène, Jean Pierre Fromage a eu de la demande. Ainsi je vais parfois chanter sous son costume, avec la moustache et la perruque. Ce jeu de rôle m’a donné envie d’aller plus loin. Ainsi j’ai monté un groupe en chair et en os, en cuir et en jeans pour Béton Plastic. Nous avons fait 4 concerts environ. Je me suis pris au jeu et vite Jean Pierre Fromage eut un album, Béton Plastic un maxi. La version live des compilations Craignos démarra en 2013 avec le Craignos Cabaret. Mes amis me suivirent dans la fabrication des personnages sceniques de Robot Caca, Gainsbite ou Maximum Cagole. Il y’eut 3 cabarets, dont le dernier eut lieu à Angers. L’exercice vocal de devoir changer d’interprétation m’a beaucoup plu. Aussi en 2018 je décidais que certains personnages Craignos méritaient d’avoir du répertoire en plus. Je préparais un album entier pour Charles Ezeimer, un pour Les Clopes ( avec l’aide de Valerie Hernandez pour deux chansons ), un pour Gainsbite ( avec l’aide de Valérie pour une chanson et d’Olivier Mouchard pour une musique ) et termine en ce moment l’album de Maximum Cagole (avec l’aide de Valérie sur deux titres, Carmen Maria Vega sur un autre et Sapritch pour encore un autre. En 2016 j’ai aussi fabriqué le personnage de Marc Hibo, guitariste de musique nouvelle (j’ai sorti deux albums sous ce nom) et Stan G, saxophoniste hyper débutant et free ( un album ).
Pour en revenir à Craignos, fabriquer ces masques pastiches me fait beaucoup rire et m’apprend aussi beaucoup. J’ai beaucoup de plaisir à écrire de la gaudriole pour le personnage de Jean Pierre Fromage. Mais c’est tres dur. Alors mes amis ont écrit une moitié de répertoire. Clément Daquin, Mathias Malzieu, Victorine, Baptiste Hamon, Alma Forrer, Guillaume Bouchateau, Pierre Boivent, Abel Cheret, ont écrit avec moi pout Jean Pierre. Pour Les Clopes j’ai tout fait quasiment avec un grand plaisir à manipuler cette matière new wave puis en lui injectant un chant simplet. Pour le live Guillaume Bouchateau, Cléa Vincent, Tim Glass et Jerome Violent endossent des rôles, tout comme moi. D’un point de vue théâtral c’est stimulant. Je me rends compte que chanter de la new wave c’est chanter bas et je réalise des fantasmes cold wave tout en m’amusant. Pareil pour Gainsbite. Grâce à ce personnage j’ai malaxé une matière dandy que je n’aurais pas eu l’occasion de tester. Tout en m’amusant. Pour Charles Ezeimer, et tout en plaisantant, je me frotte à mes fantasmes de chanteurs possédés des années 70. Quant à Maximum Cagole, c’est l’occasion de me frotter au ska festif, à la techno machina, au cloud rap et à la trap tout en rigolant. Les pastiches me font aller plus loin dans la recherche musicale et théâtrale que les masques plus mélomanes. Cela dit dans chaque cas j’apprends et je me débloque des complexes. Pour les pastiches de chez Craignos, il ne s’agit jamais de se moquer. Ni de Gainsbourg ni de Brassens, ni qui que ce soit. Simplement éxagerer leur tics pour prendre possession de leurs points de vue, tout en plaisantant. En me moquant de moi aussi. Car je n’aurai jamais l’audace du dansysme, du réalisme chansonnier, de la pose new wave, du lacher prise festif. Au fur et à mesure j’essai même de tomber le masque, bien que je souhaite rire avant tout. Chaque masque m’aide à débloquer des complexes. Quand j’ai commencé à sortir des disques je sentais que mon identité musicale n’existait pas. Comme c’était la mode des crossover on pouvait passer du rock à la folk au dub sans avoir à changer vingt fois de noms. On m’a mis l’étiquette éclectique. Dans les années 2000, grace au personnage Don Lee Doo, qui devint un titre d’album, je croyais avoir enfin fait la synthèse de chaque détail d’un puzzle musical définissant mon identité. Pourtant en 2010 je n’y croyais plus. A nouveau un spasme m’a pris durant un live. « J’aime me frotter à bien d’autres musiques ». Je suis décidé à me diviser en plusieurs avatars pour de bon, et ça va être le vrai bordel!
jeudi, décembre 19, 2019
Nouveau clip de Fictions
« Coma Carole Anne » est une chanson que nous avons écrite avec Guillaume Léglise pour son groupe Fictions. Lui à la musique et moi aux paroles. Aujourd’hui est publié un clip de Marcos Dos Santos et les Inrocks en parlent ici https://www.google.fr/amp/s/amp.lesinrocks.com/inrocks.tv/fictions-devoile-un-clip-et-twinder-son-appli-de-rencontres-entre-jumeaux/
J’adore écrire des paroles. Ici pour Guillaume il avait la mélodie et j’ai mis le texte dessus. Un texte lubrique et SM par ailleurs. Avec sa voix douce il me tardait d’en voir l’effet. Je suis ravi de cette rencontre. Nous jouons de la musique depuis dix ans ensemble avec Guillaume. Nous avons animé des open mics, je l’ai accompagné à la batterie, il m’a accompagné à l’orgue, on a fait des disques ensemble, des spots de pub, parfois il a mixé des disques que je réalisais.
J’adore écrire des paroles. Ici pour Guillaume il avait la mélodie et j’ai mis le texte dessus. Un texte lubrique et SM par ailleurs. Avec sa voix douce il me tardait d’en voir l’effet. Je suis ravi de cette rencontre. Nous jouons de la musique depuis dix ans ensemble avec Guillaume. Nous avons animé des open mics, je l’ai accompagné à la batterie, il m’a accompagné à l’orgue, on a fait des disques ensemble, des spots de pub, parfois il a mixé des disques que je réalisais.
Enregistrement au studio de Cléa Vincent
Aujourd’hui j’ai terminé mes enregistrements au studio de Cléa Vincent. Il s’agit d’un album improvisé chez Cléa de 10 titres. On est allé vite. On a du le faire en deux fois car lors de la première session on a discuté un peu longtemps avec Pi Ja Ma qui passaient dans le coin. Je compte sortir cela au printemps. Juste après mon prochain album que je compte publier en février. Cléa est à la prise de son. Je joue le piano et chante.
mercredi, décembre 18, 2019
mardi, décembre 17, 2019
Résidence In Situ
Avec Cléa Vincent nous sommes donc en résidence toute cette année au collège Picasso pour fabriquer avec les élèves leur propre émission musicale autour de la Pop au sens large du terme. Il s’agit donc d’une version kids du programme « Sooo Pop » qu’anime Cléa Vincent. Pour la version tout public nous avions écrit ensemble le générique et l’habillage sonore. Pour cette version jeune public nous fabriquons tout avec eux. La musique du générique, par exemple, a été écrite avec les élèves, chantée avec eux, avec le concours de leurs profs de français et d’anglais. Les images du générique ont été animées avec eux, leurs dessins, leurs sketchs, avec le concours de leur prof de maths. La mise en scène a été faite avec eux. Cléa et moi à la prise de son, au cadrage, à la musique, au montage. La prof de musique a co ordonné la chorale. La documentaliste a géré la rédaction des sujets pour les chroniqueurs. Une élève s’est improvisée speakerine. Hier nous avons fait une capture live d’une des élèves qui chante une chanson de son choix, accompagnée par Cléa et moi. C’est un long projet, qui demande beaucoup d’organisation. Depuis un an il m’arrive de plus en plus de fabriquer des objets musicaux dans le cadre d’actions culturelles. J’ai fait cette tournée rurale des écoles et lieux atypiques du Nord avec Cléa il y’a un an, une classe d’écriture et d’enregistrement d’un disque de rap à Château Thierry il y’a quelques mois. La composition avec les élèves de nouvelles sonneries dans les établissements d’écoles des Deux Sèvres, deux tournées de lycées de Picardie avec concerts et conférences sur la Pop avec Cléa. Et puis il y’a en ce moment les manuels de musiques actuelles destinées aux écoles que nous écrivons avec Xavier Lelievre et Alan Sapritch. D’autres choses arrivent bientôt.
lundi, décembre 16, 2019
En 2019 j’ai fait des disques, dis donc
2019 fut une chouette année, pour ma part. J’ai participé à plein de disques. Je fais un point ici pour me remémorer tout ceci et aussi pour vous rappeler quelques souvenirs.
Janvier: Les Clopes
Les Clopes n’est pas vraiment un groupe puisque j’écris et enregistre seul, à l’exception de deux chansons avec Valérie Hernandez. Depuis quelques années je me servais de ce nom pour publier des pastiches de new wave francophone. Les messages agréables sur internet m’ont donné envie de fabriquer tout un album. Pour alimenter le mystère nous sommes trois sur la pochette. L’album a eu un bon écho si bien qu’il y’a eu de la demande pour des concerts. Nous en avons fait trois, avec les deux personnes de la pochette, qui eux aussi ont un avatar pour Les Clopes, flanqués de deux musiciens supplémentaires. A ce jour nous avons trois options de concerts à venir et un nouvel album sur le feu.
Février: Laure Briard
« Un peu plus d’amour s’il vous plait » est l’album de 2019 de Laure Briard. J’ai beaucoup aimé cette rencontre. J’ai écrit la musique de la chanson « énergie » et je joue de la flute, de la zurna et du saxophone dans l’album.
Gainsbite
Janvier: Les Clopes
Les Clopes n’est pas vraiment un groupe puisque j’écris et enregistre seul, à l’exception de deux chansons avec Valérie Hernandez. Depuis quelques années je me servais de ce nom pour publier des pastiches de new wave francophone. Les messages agréables sur internet m’ont donné envie de fabriquer tout un album. Pour alimenter le mystère nous sommes trois sur la pochette. L’album a eu un bon écho si bien qu’il y’a eu de la demande pour des concerts. Nous en avons fait trois, avec les deux personnes de la pochette, qui eux aussi ont un avatar pour Les Clopes, flanqués de deux musiciens supplémentaires. A ce jour nous avons trois options de concerts à venir et un nouvel album sur le feu.
Février: Laure Briard
« Un peu plus d’amour s’il vous plait » est l’album de 2019 de Laure Briard. J’ai beaucoup aimé cette rencontre. J’ai écrit la musique de la chanson « énergie » et je joue de la flute, de la zurna et du saxophone dans l’album.
Gainsbite
J’avais imaginé un personnage qui ne dit jamais de grossièreté mais qui chante avec la voix de Gainsbourg. Tout ça avec des textes qui parlent d’un homme seul qui va à la Spa adopter une chienne. L’ambiguïté de la voix et des textes m’a permis d’écrire tout un album via cet avatar étrange. Pour pousser le vice j’ai empli l’album de 7 titres pour 27 minutes. Comme un album de Gainsbourg de 1971. J’ai écrit les musiques et les textes, sauf une chanson avec une musique écrite et jouée par Olivier Mouchard, et une chanson écrite par Valérie Hernandez.
CLEA VINCENT:
Dans son nouvel album, il y’a une chanson que nous avons écrite ensemble avec Cléa, « dans les strass »
Avril
« Uku tape » etait mon nouvel album de chansons au ukulele chez Equilibre Fragile. Avec quelques chansons co écrites avec Valérie Hernandez, Youssef Abado ou Cléa Vincent. 5 langues dans ce disque.
Mai
Techno Miam est un duo de techno que j’ai avec Tim Glass. En mai nous sortions un Ep.
Mikatap est un duo que j’ai fait avec Madame Patate. Il s’agit de free jazz. C’est un album dans lequel je joue la batterie et Patate le reste des instruments.
L’album de Paulette Wright est sorti dans une immense douleur. Enregistré quelques semaines avant son décès, nous avons tous été choqués de sa disparition. C’était mon amie, elle est partie. Une des chansons de mon album « uku tape » lui est destinée. Dans son album je joue de la trompette et du saxophone. L’enregistrement est le dernier instant où nous passions du temps ensemble. L’album est posthume et c’est douloureux.
En juin je sortais « Kim sings Daniel Johnston » chez Folkmica. Quelques mois plus tard Daniel Johnston disparaissait. Autre parution douloureuse, donc.
« Lost mambos & riz wok » en aout, mon nouvel album
Octobre fut rempli: je sortais « bandes magnétiques 1992 » en solo, un album de musique concrete. Lucie Antunes sortait son premier album dans lequel je chante. Anfa Sings sortait son premier album que j’ai réalisé et dans lequel je joue les batteries,basses, guitares, piano, trompettes. Fictions sortait un nouveau EP dans lequel j’ai écrit les paroles de « Coma Carole Anne ».
En novembre Carmen Maria Vega sortait un maxi de remixs dans lequel j’ai écrit « Ultra Vega » avec elle. Je sortais aussi un nouvel album orienté techno et ambiant « improvisations à la galerie du pop up »
Ainsi décembre avec le Ep de Victoire Oberkampf dans lequel j’ai fait la prise de son et le mixage et l’album de Elles Sont Imparfaites que j’ai écrit, joué et quasi chanté.
C’est la fin de l’année, je dresse un bilan.
J’espère ne pas avoir oublié un disque.
Elles Sont Imparfaites, l’album
Elles Sont Imparfaites est un groupe de pop francophone que j’ai imaginé il y’a dix ans et pour lequel j’ai écrit et interprété, enregistré des chansons en tentant de monter physiquement le groupe. Il m’a été complexe de trouver avec qui faire quoi. Autant dans l’image que dans la grammaire de ce groupe, tout était assez flou pour moi. Alors j’ai fait participé Clea Vincent ou Abel Cheret aux chants. Puis l’album s’est construit avec le temps. Je m’y consacrais peu. Ici j’en parlais sur le blog il y a un mois. L’album sort aujourd’hui en digital.
https://open.spotify.com/album/5c9P9ulrebu2dyEcQ5n1yM?si=VIAsh7UCR3aWnt-dnsx1Vw
http://www.deezer.com/album/122899742
http://www.deezer.com/album/122899742
dimanche, décembre 15, 2019
Le nouveau disque de Victoire Oberkampf
Souvenez vous il y’a un mois j’enregistrais et mixais le nouveau disque 6 titres de Victoire Oberkampf. Il est sorti, en cd et vinyle. Le digital ce sera pour bientôt. Elle a tout mis en valeur avec une sérigraphie et un mobile sur bois. Vous pouvez écouter et commander ici https://victoire-oberkampf.bandcamp.com/album/tout-doucement
Je suis ravi de ce disque. Je suis fan de Victoire depuis 2011, lorsqu’on se croisait à des open mics du 5e arrondissement. Je l’ai accompagnée en
2012 en live dans une émission de radio aussi. Je ne sais plus laquelle mais je me souviens que les autres invités jouaient de la musique ancienne sans vibrato. Ca m’a marqué car le musicien a expliqué que c’était une invention européenne à laquelle on s’était habitués, le vibrato, au point de ne plus savoir écouter de la musique qui n’en utilise pas.
J’aimais et j’aime beaucoup comme chante Victoire et comme elle considère la musique. Elle est sur l’instant, comme pas mal de musiciens folk. Elle utilise du chant mutin, du chant folk, des voix chaudes, des voyelles couvrantes et des voix proches. Elle à plusieurs façons de chanter et j’aime beaucoup cela
Je suis ravi de ce disque. Je suis fan de Victoire depuis 2011, lorsqu’on se croisait à des open mics du 5e arrondissement. Je l’ai accompagnée en
2012 en live dans une émission de radio aussi. Je ne sais plus laquelle mais je me souviens que les autres invités jouaient de la musique ancienne sans vibrato. Ca m’a marqué car le musicien a expliqué que c’était une invention européenne à laquelle on s’était habitués, le vibrato, au point de ne plus savoir écouter de la musique qui n’en utilise pas.
J’aimais et j’aime beaucoup comme chante Victoire et comme elle considère la musique. Elle est sur l’instant, comme pas mal de musiciens folk. Elle utilise du chant mutin, du chant folk, des voix chaudes, des voyelles couvrantes et des voix proches. Elle à plusieurs façons de chanter et j’aime beaucoup cela
vendredi, décembre 13, 2019
jeudi, décembre 12, 2019
Sapritch
Voici Sapritch. C’est un excellent musicien, producteur chez Clac Records, guitariste et rappeur. Nous profitons d’écrire ensemble les manuels sur la musique pour faire aussi de la musique. Je prépare des instrumentaux de rap pour qu’il chante dessus. Cette expérience me réjouis. J’écris aussi quelques chansons en chantier pour une chanteuse et un chanteur. Mais j’en parlerai quand ça prendra forme.
Et puis ici le livre de la saison de la Biscuiterie de Chateau Thierry avec des photos de nos concerts ici avec Cléa Vincent
mardi, décembre 10, 2019
Série de manuels sur la musique
Nous continuons l’écriture de manuels sur la musique avec Xavier Lelievre et Alan Sapritch ces trois prochains jours.
C’est un projet musical de part son contenu et narratif par sa forme. C’est bien la première fois que je participe à l’écriture d’un livre, à l’exception d’une post face que j’avais écrite dans un livre autour de Daniel Johnston.
Certains emploient parfois le terme de pluridisciplinaire lorsque je poste mes infos, ici ou sur les réseaux. Ca me gène. Au final je vois cela de façon plus simple. Je joue de la musique. Quand j’écris sur ce sujet c’est encore de la musique. Quand je dessine des tableaux c’est encore de la musique, car c’est une déclinaison d’images autour desquelles je tourne dans mes chansons, ou bien des couleurs vives que je tente de peindre musicalement dans mes disques. Cela peut paraître tiré par les cheveux mais c’est pourtant ce que je ressens. Je ne minimise pas mes tableaux, surtout que depuis 4 ans que j’y ai ajoutés de la couleur acrylique, il y’a des ventes et des commandes, soit des gens qui apprécient ces dessins. Alors je respecte et remercie leur intérêt. Je suis également ravi de dessiner car j’ai toujours aimé cela. Cela dit je ne savais pas comment faire exister cette activité en auxiliaire de mes disques. Je dessinais des bédés ou les pochettes de certains de mes disques. Et ce médium ne racontait rien de plus. Avec le format d’une seule image sur un tableau, puis le même format avec couleur, j’ai trouvé soudain davantage de personnes chez qui cela résonnait. En soit même si ça n’était pas une quête c’est rassurant. Souvent en dessinant il me vient des chansons ou bien des paroles pour des chansons à terminer. Souvent lorsqu’un tableau sèche je suis relax pour mixer une chanson. Les deux activités ont trouvé à s’emboiter.
Quant à la comédie c’est un petit plus qui m’a motivé il y’a 9 ans. Je venais de fabriquer mon premier spectacle jeune public. Une commande du tourneur 3C pour Solidays. Durant trois jours je jouais dans une tante pour un public d’enfants, avec un déguisement proposé par Agnes B et un de ses amis peintre. L’année précédente, un ami m’avait demandé de jouer un rockeur dans une pièce durant laquelle nous avions simplement présenté la lecture. Puis, l’été 2010 je partais jouer les interplateaux d’un théatre loué par la compagnie de mon ami Cyril Amiot. A l’automne, enfin, mon ami Guillaume Léglise me demandait de remplacer un musicien sur un spectacle de Nicolas Kerzenbaum dans lequel il était lui même musicien. Tout ceci me donnait envie de mieux connaître le théâtre. Quelques mois plus tard Céline Garnavault me proposait « Play » un spectacle de la compagnie La Boite A Sel dans lequel j’ai été musicien. J’étais cela dit au contact de jeu de la comédienne sur du théâtre d’objets, de la marionnette. J’ai beaucoup appris sur ce spectacle et sur les 4 autres que nous avons fabriqués ensemble. Les adresses, les encrages dans le sol, les enjeux, la diction. Car dans ceux d’après je postulais pour avoir un peu de texte, du jeu. L’année 2013 Carmen Maria Vega me proposait les arrangements de son spectacle autour de Boris Vian. Puis je remplaçais la batteuse. Chez Carmen il y’a toujours du jeu de comédien sur scène. Qui plus est en 2014 elle prenait le rôle titre du spectacle Mistinguett dans lequel j’ai été engagé comme musicien. Au contact de tous ces comédiens j’ai beaucoup appris. De Fabian Richard par exemple, sur ses mimiques, sa précision, sur Guillaume Delvingt, et son clown, sa maitrise du texte, sur Carmen bien sûr et plein d’autres. Suite à ce spectacle nous montions un duo danse/musique avec de la comédie avec Héloise Vellard. La aussi, son énergie, sa danse, ses sketchs, m’ont appris énormément. J’ai ensuite écrit un seul en scène sur la musique, avec Guillaume Delvingt à la mise en scène et un seul en scène jeune public pour la compagnie Studio Fantôme. Le tout public n’a joué que deux fois. La aussi j’ai appris que la forme seule en scène était difficile. J’avais 23 pages de mon texte â savoir. Pour le jeune public je l’ai joué 16 fois. Enfin nous jouions avec La Boite A Sel un spectacle dans lequel j’étais surtout chanteur comédien, masqué, et parolier. Sur ce spectacle j’ai mis en scène un tableau du spectacle aussi, qui, malheureusement a été coupé. Cela dit c’était encore une belle expérience. Durant 2016/2018 en même temps je jouais avec Carmen Maria Vega dans le spectacle Ultra Vega que nous avions arrangé ensemble. Il y’avait des passages de comédies. Coté cinéma je n’ai quasi rien fait, seulement des figurations de musiciens dans Bus Palladium ou Gainsbourg Vie Héroïque et très récemment un mini roles courts de musicien dans une serie qui sort bientôt. Cette année j’ai ce role dont je parle dans le blog. Tout ceci pour expliquer que chaque mission que j’ai pu avoir en comédie, je l’ai pensé comme un bonus pour la musique. Soit pour mon métier d’interprete ( musicien ou chanteur ) soit pour faire des rencontres, engager des comédiens sur des clips, apprendre d’eux, proposer mes musiques pour du théatre. Alors il s’agit plus de chercher des matériaux pour nourrir la musique qui, elle, me prend tout mon temps, que réellement souhaiter devenir comédien. Chose que je ne dirais pas en public et que je glisse ici, presque dans la confession. D’abord parce que ca n’est pas si intéressant dans une discussion et ensuite car dans nos métiers de spectacle, le degres d’engagement doit rester intime, car cette question peut nous causer du tord et etre pris dans le mauvais sens. Oui j’adore dessiner, écrire sur la musique, jouer la comédie, jouer de la musique en écrire et en chanter. Simplement ce qui est central pour moi, ce vers quoi tout converge, c’est la musique. Pourquoi parler de cela ici? Pour me justifier ? Non. Simplement car le sujet de la pluridisciplinarité me gène. Je n’aimerais pas que vous puissiez un instant penser, lecteurs, que je me vois comme ça. Et je m’enlise d’autant plus dans une justification qui tente de ne pas en être une. Faites l’expérience, payez votre café avec un billet de 5 euros et ajoutez « c’est un vrai ». Le barman aura de gros soupçons. Nous, musiciens, ne savons pas où nous allons. Nous crions « au loup! ».
C’est un projet musical de part son contenu et narratif par sa forme. C’est bien la première fois que je participe à l’écriture d’un livre, à l’exception d’une post face que j’avais écrite dans un livre autour de Daniel Johnston.
Certains emploient parfois le terme de pluridisciplinaire lorsque je poste mes infos, ici ou sur les réseaux. Ca me gène. Au final je vois cela de façon plus simple. Je joue de la musique. Quand j’écris sur ce sujet c’est encore de la musique. Quand je dessine des tableaux c’est encore de la musique, car c’est une déclinaison d’images autour desquelles je tourne dans mes chansons, ou bien des couleurs vives que je tente de peindre musicalement dans mes disques. Cela peut paraître tiré par les cheveux mais c’est pourtant ce que je ressens. Je ne minimise pas mes tableaux, surtout que depuis 4 ans que j’y ai ajoutés de la couleur acrylique, il y’a des ventes et des commandes, soit des gens qui apprécient ces dessins. Alors je respecte et remercie leur intérêt. Je suis également ravi de dessiner car j’ai toujours aimé cela. Cela dit je ne savais pas comment faire exister cette activité en auxiliaire de mes disques. Je dessinais des bédés ou les pochettes de certains de mes disques. Et ce médium ne racontait rien de plus. Avec le format d’une seule image sur un tableau, puis le même format avec couleur, j’ai trouvé soudain davantage de personnes chez qui cela résonnait. En soit même si ça n’était pas une quête c’est rassurant. Souvent en dessinant il me vient des chansons ou bien des paroles pour des chansons à terminer. Souvent lorsqu’un tableau sèche je suis relax pour mixer une chanson. Les deux activités ont trouvé à s’emboiter.
Quant à la comédie c’est un petit plus qui m’a motivé il y’a 9 ans. Je venais de fabriquer mon premier spectacle jeune public. Une commande du tourneur 3C pour Solidays. Durant trois jours je jouais dans une tante pour un public d’enfants, avec un déguisement proposé par Agnes B et un de ses amis peintre. L’année précédente, un ami m’avait demandé de jouer un rockeur dans une pièce durant laquelle nous avions simplement présenté la lecture. Puis, l’été 2010 je partais jouer les interplateaux d’un théatre loué par la compagnie de mon ami Cyril Amiot. A l’automne, enfin, mon ami Guillaume Léglise me demandait de remplacer un musicien sur un spectacle de Nicolas Kerzenbaum dans lequel il était lui même musicien. Tout ceci me donnait envie de mieux connaître le théâtre. Quelques mois plus tard Céline Garnavault me proposait « Play » un spectacle de la compagnie La Boite A Sel dans lequel j’ai été musicien. J’étais cela dit au contact de jeu de la comédienne sur du théâtre d’objets, de la marionnette. J’ai beaucoup appris sur ce spectacle et sur les 4 autres que nous avons fabriqués ensemble. Les adresses, les encrages dans le sol, les enjeux, la diction. Car dans ceux d’après je postulais pour avoir un peu de texte, du jeu. L’année 2013 Carmen Maria Vega me proposait les arrangements de son spectacle autour de Boris Vian. Puis je remplaçais la batteuse. Chez Carmen il y’a toujours du jeu de comédien sur scène. Qui plus est en 2014 elle prenait le rôle titre du spectacle Mistinguett dans lequel j’ai été engagé comme musicien. Au contact de tous ces comédiens j’ai beaucoup appris. De Fabian Richard par exemple, sur ses mimiques, sa précision, sur Guillaume Delvingt, et son clown, sa maitrise du texte, sur Carmen bien sûr et plein d’autres. Suite à ce spectacle nous montions un duo danse/musique avec de la comédie avec Héloise Vellard. La aussi, son énergie, sa danse, ses sketchs, m’ont appris énormément. J’ai ensuite écrit un seul en scène sur la musique, avec Guillaume Delvingt à la mise en scène et un seul en scène jeune public pour la compagnie Studio Fantôme. Le tout public n’a joué que deux fois. La aussi j’ai appris que la forme seule en scène était difficile. J’avais 23 pages de mon texte â savoir. Pour le jeune public je l’ai joué 16 fois. Enfin nous jouions avec La Boite A Sel un spectacle dans lequel j’étais surtout chanteur comédien, masqué, et parolier. Sur ce spectacle j’ai mis en scène un tableau du spectacle aussi, qui, malheureusement a été coupé. Cela dit c’était encore une belle expérience. Durant 2016/2018 en même temps je jouais avec Carmen Maria Vega dans le spectacle Ultra Vega que nous avions arrangé ensemble. Il y’avait des passages de comédies. Coté cinéma je n’ai quasi rien fait, seulement des figurations de musiciens dans Bus Palladium ou Gainsbourg Vie Héroïque et très récemment un mini roles courts de musicien dans une serie qui sort bientôt. Cette année j’ai ce role dont je parle dans le blog. Tout ceci pour expliquer que chaque mission que j’ai pu avoir en comédie, je l’ai pensé comme un bonus pour la musique. Soit pour mon métier d’interprete ( musicien ou chanteur ) soit pour faire des rencontres, engager des comédiens sur des clips, apprendre d’eux, proposer mes musiques pour du théatre. Alors il s’agit plus de chercher des matériaux pour nourrir la musique qui, elle, me prend tout mon temps, que réellement souhaiter devenir comédien. Chose que je ne dirais pas en public et que je glisse ici, presque dans la confession. D’abord parce que ca n’est pas si intéressant dans une discussion et ensuite car dans nos métiers de spectacle, le degres d’engagement doit rester intime, car cette question peut nous causer du tord et etre pris dans le mauvais sens. Oui j’adore dessiner, écrire sur la musique, jouer la comédie, jouer de la musique en écrire et en chanter. Simplement ce qui est central pour moi, ce vers quoi tout converge, c’est la musique. Pourquoi parler de cela ici? Pour me justifier ? Non. Simplement car le sujet de la pluridisciplinarité me gène. Je n’aimerais pas que vous puissiez un instant penser, lecteurs, que je me vois comme ça. Et je m’enlise d’autant plus dans une justification qui tente de ne pas en être une. Faites l’expérience, payez votre café avec un billet de 5 euros et ajoutez « c’est un vrai ». Le barman aura de gros soupçons. Nous, musiciens, ne savons pas où nous allons. Nous crions « au loup! ».
Organisation
Organisation des prochains trains, linge, conditionnement divers. Peinture d’une nouvelle commande.
lundi, décembre 09, 2019
dimanche, décembre 08, 2019
Un concert dans lequel tout le monde se mélange
Un concert dans lequel tout le monde va se mélanger et mélanger ses répertoires, jonglant à l’accompagnement ou à l’interprétation. C’est le 20 décembre à Malakoff. J’ai hâte, je ne connais pas tout le monde, c’en est d’autant plus excitant. Je connais leur musiques, mais on ne s’est pas encore rencontrés.
samedi, décembre 07, 2019
Les concerts en appartement
Il y’a 5 ans je recevais des messages sur internet qui demandaient quand je jouerais dans telle ou telle ville. Lorsque je n’avais rien de prévu dans la ville en question, je répondais que je pouvais venir jouer à domicile. Certains ont relevé le défi. Je les ai briefé sur le procédé et j’ai joué. Hier j’ai reçu un message. Les memes que ceux du concert en appartement de Tours il y’a cinq ans souhaitaient me faire revenir, des années après, ce coup ci en duo avec Cléa. Car depuis ils ont organisé onze concerts en appartement.
J’aime quand mon métier de musicien de scènes, (ca c’est ce qui représente les 90% de mon à activité) fabrique des expériences et des rencontres qui donnent suite, sur le plan humain. Sans ça nous avons parfois l’impression que rien n’a de suivi. Lorsqu’on on rejoue pour les mêmes personnes, c’est très réconfortant.
J’aime quand mon métier de musicien de scènes, (ca c’est ce qui représente les 90% de mon à activité) fabrique des expériences et des rencontres qui donnent suite, sur le plan humain. Sans ça nous avons parfois l’impression que rien n’a de suivi. Lorsqu’on on rejoue pour les mêmes personnes, c’est très réconfortant.