samedi, février 29, 2020

Pizza Giani 28

vendredi, février 28, 2020

La pochette de mon prochain album à paraître le 20 avril


jeudi, février 27, 2020

Chanteuse française bis

Deuxième journée hier avec cette chanteuse dont je suis fan depuis tout petit. Nous étions en studio. Nous testions des chansons. Je ne sais pas du tout ce qu’il va se passer. La génération actuelle aime savoir son rôle dans les étapes, et si étape il y’a. Ici, c’est différent. Je ne sais rien. Ca arrive parfois. J’ai joué un peu de guitare. Mais comment savoir la suite? Les interprètes ont besoin d’espace en général. La matière qu’ils créent est plus nébuleuse qu’une musique. 

mercredi, février 26, 2020

Des chansons pour une chanteuse française

Hier j’ai rencontré une de mes idoles. Une chanteuse française que je ne nommerai pas, par souci de discrétion et aussi car il faut du calme pour accueillir cette nouvelle collaboration. Pas de tambour, pas de trompettes. Nous en sommes au stade de la rencontre. Appelons la «G ». Ce qui n’est aucune lettre de son nom et qui m’est venu comme ça. Il y’a trois ans un label m’a demandé d’écrire des chansons pour « G ». J’ai demandé à Clea Vincent d’écrire avec moi pour « G ». Puis j’ai appris que « G » n’avait pas aimé notre chanson. Quand soudain, il y’a un mois, et après n’avoir eu aucune nouvelle d’un nouveau disque de « G » depuis trois ans, c’est un autre label qui m’appelle, et qui m’annonce qu’il produira certainement un album de « G » et qu’il m’invite à écrire pour elle. Ce même label propose alors un de mes chansons « ça dégomme ça balance » que j’ai sorti sous le nom Elles Sont Imparfaites, et je lui confie que j’ai déjà écrit pour « G » trois ans auparavant avec Cléa. Les deux chansons sont alors sélectionnées â condition de ré adapter à « G » le texte de « Ça dégomme ça balance ». J’invite Clea à ré écrire des bouts avec moi et un rendez vous est pris pour une rencontre et des tests sur des musiques avec « G ». Nous en sommes là. C’est flou, je ne sais pas où on va, c’est intimidant car « G » est une idole. Chacun a ses méthodes. Je suis en observation. Je ne sais pas si nos chansons resteront dans la liste des titres à chanter, je ne sais rien de ce qu’il va se passer. 

lundi, février 24, 2020

Rubin

Voici mon ami Rubin Steiner. Grâce à lui mon album
« Omnichordia » a été entendu cette semaine, bien plus que ce à quoi je m’attendais. Tout d’abord mon nouvel album correspond à une facette de mes enregistrements qui, généralement, plait le moins. Il m’arrive souvent d’enregistrer des musiques expérimentales ou psychédéliques mais ce n’est pas ce qui me rapporte le plus de suffrage. Les gens s’attendent davantage à m’entendre chanter des refrains. Or je n’aime pas uniquement cette forme là, la pop.
« Omnichordia » c’est deux longues plages de plus d’un quart d’heures chacune. J’ai commencé cet album en 2010. A cette époque je n’étais pas content du mixage. Quelque chose dans le grain des claviers m’enlevait toute joie de montrer ceci un jour. Et puis la compagnie La Boite à Sel m’a demandé une musique pour le spectacle « Play » et « Omnichordia » m’a servi de note d’intention. La même année je vendais quelques MP3 non publiés sur mon blog « coussinet » et « Omnichordia » est parti dans quelques boites mail. Des années après j’ai replongé mes mains dedans. Pas par envie mais pour achever quelque chose qui n’était pas fini. Et j’ai trouvé ce qui n’allait pas dans le mixage. Puis s’est posé la question du format. Je souhaitais un vinyle et une sortie digitale. Valérie Hernandez a inventé le logo et j’ai peint à l’acrylique cette chose ronde. Je savais que, parmi ceux qui me suivent, peu aiment la musique psychédélique. Par ailleurs cette semaine là je partais jouer à Lyon un concert de reprises de Daniel Johnston. La Lofi, la chanson, l’ambiance troubadour, n’ont rien à voir avec « Omnichordia ». Et puis personne dans mes contacts presse n’avait envie d’écouter cette facette là de mes choses musicales. Quant à un attaché de presse, bien sûr que je ne pouvais pas m’en payer un sur une sortie autant en marge de tout ce que je fais en solo, si tenté qu’il y’ait une tendance que j’aurais coutume de pratiquer.
Et puis, hasard fort chouette, mon ami Rubin Steiner a convoqué sur internet toute une foule d’aficionados des musiques synthétiques psychédéliques à venir écouter mon album « Omnichordia ». Plein de nouvelles personnes qui découvrait mes musiques et surtout celle ci. Je le remercie car dans la foulée j’ai eu des ventes et des articles.
Le concert à Lyon se passait très bien, dans un registre folk, et en même temps mon album étrange faisait sa route.
Merci Rubin pour tout ceci.

mercredi, février 19, 2020

« Omnichordia » mon nouvel album

En fait si, mon nouvel album est bien sorti partout en digital et en vinyle. Je m’étais trompé de date. Alors le voici, il s’appelle « Omnichordia »:

Spotify
https://open.spotify.com/album/219Ovj5wu3Bu7msrbNjAqL?si=g5_RGcDASTOzNLiHvKlW5g

Deezer
http://www.deezer.com/album/129933002

Itunes
https://music.apple.com/fr/album/omnichordia/1497540295

Vinyle
https://leblogdekim.blogspot.com/2020/01/omnichordia-en-vinyle-33-tours.html?m=1



Rdv


vendredi, février 14, 2020

Centenaire Boris Vian

L’été dernier j’ai arrangé un bout du répertoire de Boris Vian pour un spectacle privé dans un spectacle en dessous de chez Boris Vian dans le cadre du centenaire de l’auteur. J’avais, avec l’éditeur Peer Music, monté le groupe constitué de Niki Demiler, Cléa Vincent, Tim Glass, Blot, DeLaurentis et moi. Ce soir là nous partagions l’affiche avec un trio de Boris Bergman. Dans le cadre de cet événement les organisateurs sont venus me poser des questions sur Vian, pour le site du centenaire. Voici la vidéo https://youtu.be/Yu6sEuTH_Vk

Merci Shoefiti pour cette photo


jeudi, février 13, 2020

Concert piano au quai de bourbon

Hier je jouais en solo au piano au Quai de Bourbon, Paris, avant Youngerson. Le piano m’intimide. J’ai aimé jouer ainsi. Un set court et polyglotte. Marie Klock etait dans le public. Elle est l’auteure d’une chanson de mon répertoire chantée en allemand. Ca m’a mis un trac fou. 

mardi, février 11, 2020

Librairie et organisations

Les chansons que j’ai enregistrées pour la librairie musicale sont prises. Il faut une dernière vérification mais c’est bien parti. J’ai aussi, aujourd’hui, signé la chanson pour Fictions, pour laquelle j’ai écrit les paroles. Je suis passé chez son éditeur signer les papiers. Et puis de l’organisation de concerts, le reste de la journée. 

lundi, février 10, 2020

Concerts


C’était vendredi soir chez François à Tours pour un concert privé en appartement, duo « Kim&Clea » 



Ça c’est demain, je jouerai en piano chant, solo

vendredi, février 07, 2020

Les concerts ping pong

Parmi les formats que j’aime beaucoup il y’a ce que j’appelle « les concerts ping pong ». Il s’agit d’un concert dans lequel deux solistes se croisent et s’accompagnent l’un l’autre. En 2015 j’ai fait une tournée sur ce principe avec Doc Lou. J’ai aussi fait ces ping pong avec Ashtray. Et avec Clea Vincent nous jouons sur ce principe depuis 2014. Nous eûmes une résidence aux Trois Baudets puis à Petit Bain puis avons joué hors de Paris sur le principe de nos duos ping pong. Ce qui est agréable c’est de croiser les répertoires, de fabriquer des medleys, et de voir les publics de l’un ou l’autre se mélanger. On voit beaucoup cette formule dans le blues ou le jazz. Quand on y réfléchit c’est pratique. On double la jauge du fait de proposer deux concerts pour le prix d’un, mélangés. Pour autant en Pop c’est interdit. Les professionnels ont peur que le public ne comprenne pas qui est sur scène. Il a fallu des années pour que les interprètes pop tentent d’avoir des invités sur scène pour des duos, comme en rap. Encore une fois les producteurs s’y opposaient, avec l’excuse du manque de lisibilité et la fausse excuse d’un aspect ringard qui rappelait les duos de rengaines à la télé. Sauf que la formule s’est imposée et à fait recette. Du coup les producteurs ont retourné leurs vestes, et aujourd’hui lorsqu’on joue de la pop en concert on se doit d’avoir des tas d’invités surprises sur scène durant le concert, et qui plus est on doit les annoncer en promo. Où est la surprise ? Combien ça coûte ? J’ai horreur de ces choses téléphonées. Quoiqu’il en soit le « concert ping pong » n’est toujours pas accepté par les producteurs de la pop. Le jour où ça arrivera, le dictat nous empêchera de jouer avec un unique nom d’interprète à l’affiche. Les producteurs c’est tout ou rien. Surprendre ne les intéresse pas. Fidéliser le public est leur seule obsession. Laissons le public accueillir nos propositions comme il a envie. Quand je reçois des applaudissements je les souhaite sincères. Quand je reçois des tomates je veux savoir que je les ai cultivées. 

Un cd maxi avec une classe de CM2

Voici l’école Césaire Levillain, à Grand Quevilly. En trois jours nous avons, avec les élèves, écrit et enregistré 4 titres pour un maxi CD

jeudi, février 06, 2020

Enregistrements

Aujourd’hui j’ai enregistré des claviers pour mon long morceau « route départementale 89 ». Puis j’ai mixé les deux chansons enregistrées avec les élèves de Grand Quevilly. Il reste encore deux chansons et le cd pourra être envoyé au pressage. Il y’a pour le moment un rap et un techno.
J’ai d’ensuite enregistré deux musiques pour le court métrage de Alienor Duplessis dans lequel j’ai un rôle et que nous tournons depuis un an. Enfin j’ai envoyé mes 9 chansons folk en proposition à mon commanditaire de la librairie musicale, puis j’ai répété du piano pour mon concert de mardi prochain. 

mercredi, février 05, 2020

Des actions culturelles en milieu scolaire

Lundi nous poursuivions la résidence avec Cléa Vincent au collège de Montfermeil. Toujours cette émission musicale que nous montons avec les élèves. Cette fois ci il s’agissait de filmer une interview de Pomme. 
L’après midi je continuais l’enregistrement de « route départementale 89 » qui est un long processus qui dure depuis 2000. Il fait partie d’un diptyque mathématique qui m’intrigue depuis des années. J’en parlerai plus tard. En tout cas j’ai enregistré tout l’après-midi puis suis parti dormir à Rouen. Car ce matin très tôt je continuais l’enregistrement de « viens on fait un disque » avec des élèves de Grand Quevilly. Nous avons 1 rap, a techno, un salsa. Il reste une journée et le disque sera prêt. C’est un défi. Puis cet après midi je m’entraîne pour un concert piano solo qui aura lieu mardi prochain à Paris.