mercredi, novembre 20, 2013

Concerts à Nouméa

 Nouméa, avec quelques personnes de l'équipe de Carmen. Une photo que j'ai envie de prendre pour un futur enregistrement de CALME, mon collectif new age.
 Carmen et moi en arrière plan à la batterie. Nouméa, en live.
 Carmen et Sebastien Adam, Nouméa en live.
 En train d'installer ma batterie tout près du Pacifique, à la Bodega de Nouméa pour un live avec Carmen Maria Vega.

Avant le départ de Nouméa vers la France, avec Carmen. Je suis dans l'eau, au fond. 

Mes toiles Christian, à la galerie Chappe, actuellement. Prises en photo par Marc. Merci à lui.


Chose imprévue, me voila parti pour Nouméa pour jouer de la batterie avec Carmen Maria Vega. Nouméa est loin et cette nouvelle chamboula mon emploi du temps. Le voyage dure plus de 24 heures. Nous arrivons à Nouméa avec Carmen, Sebastien Adam (guitares, claviers), Vincent Quesnot ( lumières ), Julien Bourdin (son), David Roquier (régie). Il y'a dix heures de décalage horraire et je suis surpris de ne pas être plus décalé que cela. Je crois que je suis un Ipad. Sur la route nous changeons d'avion à Tokyo, ce qui me laisse le temps de chercher du wifi afin de partager mes liens vers mon nouveau single de la semaine, avec un clipounet signé Sophie Marie Larrouy. "Mk 69" est un vieil instrumental qui me tenait à coeur et dont je n'avais rien fait. Je purge mes singles. Arrivés à Nouméa donc, un peu de repos pour commencer et prendre les temps de se faire au lieu. Je commence par apprécier la plage et tourner quelques images pour mon clipounet du lundi d'après. Le 13, nous jouons finalement dans une Bodega. C'est mon premier concert avec Carmen en tant que batteur. Je ne porte pas de Ear, ces fameux retours que l'on porte à l'oreille, car il n'y'en a pas besoin dans ce lieu. Le concert est raccourci et nous partageons l'affiche avec le très talentueux Raul Midon. Le concert me fout sur le cul. Puis je croise un dauphin. Puis le lendemain un serpent. L'énergie du premier concert passé, je passe la journée d'après au lit. J'ai commencé les arrangements des chansons de Boris Vian pour Carmen Maria Vega en fin avril. Puis ai joué avec elle comme guitariste lors d'une courte prestation en juin, avant de réaliser son disque en juillet aout, puis arranger son spectacle en septembre. Pour moi, la mission "fais moi mal Boris" était terminée et Carmen et ses musiciens partaient en tournée. Mais un changement récent de personnel m'a placé comme batteur de remplacement. C'est pour moi de l'énergie, en plus d'un grand plaisir. Mélangé à la déception de n'avoir pas réussi à former la bonne équipe du premier coup. Le lendemain, nous avons joué sur la grande scène de ce Gypsie Festival. 8000 personnes et ma première expérience de concert avec des EAR. J'avoue avoir été un peu perdu mais avoir pris beaucoup de plaisir. C'est tout de même un spectacle que j'ai arrangé. Etre derrière les futs m'a fait grand plaisir. Un jour plus tard, nous repartons vers la métropole. Le temps de filmer un clip pour un groupe que j'ai imaginé, Maximum Cagole, et pour lequel j'avais enregistré une chanson débile dans un train, avec l'Ipad, il y'a quelques semaines, avec l'aide de Valérie pour quelques paroles crétines. Le single devait sortir le 18 novembre, le même joue que mon single 46. Par ailleurs, j'ai tourné quelques images à Nouméa pour d'autres de mes clipounets. Ainsi qu'une vidéo stupide d'une cover de Nicoletta. Sur le retour, en passant par Osaka, je trouve du wifi et de quoi tenir mes promesses du lundi avec mes partages de singles et clipounets. Mon single de ce lundi s'appelle "greatest hit" et date de 1995, avec une grosse influence de Clair, un groupe dans lequel je tenais la guitare à Paris. Antoine, de ce groupe, m'avait appris quelques accords que j'utilise sur ce titre. Ce dernier a récemment écrit pour Jean Pierre Fromage. Le lundi, je rentre à la maison, et le mardi je mixe à l'International, avec Valérie. La semaine reprend doucement. Pendant ce temps là, l'exposition des frères Coen à Paris continue galerie Chappe, avec trois de mes dessins. Les Cocktail Bananas continuèrent sans moi la tournée parisienne, que je suivais depuis Nouméa. Et Guillaume Léglise revenait de Cuba, masterisait l'album de Cocktail Bananas et réanimait les open mics avec Ollie Joe qui me rempalçait.


Une cover stupide de Nicoletta ( que j'adore, par ailleurs )




Ciao




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