mardi, mars 31, 2020

concerts webcam privés

J'appelle cela "KIM dans ton ordi".

J'aime beaucoup jouer en webcam sur facebook et instagram, jadis sur Justin Tv ( maintenant appelé Twitch ) mais j'ai envie de revenir à ce que je proposais vers 2008: des concerts webcam privés. J'utilisais Skype. Aujourd'hui je peux utiliser Messenger, Skype, ce qu'on veut, tant que ce sont des concerts adressés à une seule personne ( ils peuvent être quelques uns derrière le même appareil, cela dit ).
Il sera possible aussi de discuter en face à face ou même de commander des chansons ou autre à l'avance. Pour les timides je peux même enregistrer la vidéo et l'envoyer par mail.

Voici les tarifs:

VIDEO 15 MINUTES, en direct, ou en différé ( envoie du fichier par mail ), avec possibilité de commander des chansons: 10E
(paypal, lydia, etc)







VIDEO 30 MINUTES
en direct, ou en différé ( envoie du fichier par mail ), avec possibilité de commander des chansons:18e
(paypal, lydia etc)








lundi, mars 30, 2020

Quarantaine 14

Hier sur internet j’ai vendu 2 tableaux en live webcam. Puisque mon exposition a été annulée et qu’elle devait se dérouler en ce moment même, je propose une version webcam où je montre et vends mes tableaux. Ils seront envoyés après le confinement pour ne pas ajouter du travail supplémentaire aux postiers. Durant ce live dessiné en webcam j’ai du une commande en direct que j’ai dessiné en temps réel. Le dessin du poulet au piano. Puis j’en ai fait un autre en live. Ca me fait du bien de rester actif et connecté grâce aux outils internet, en ces temps de confinement. Mon exposition, quant à elle, est repoussée au 2/7 juillet. Mais où en serons nous? 
Alors je prépare des choses. J’ai imaginé des solutions que je proposerai cette semaine. 
Après avoir dessiné j’ai continué à préparer la vidéo des prestations que je devais faire les 23,24 mars et 6/7 avril. Ce devait être des interventions durant lesquelles je parlais d’un genre musical avec un invité à chaque fois, en illustrant avec des extraits musicaux, dans des lycées de Chauny et Soissons. Le sujet que je devais aborder les 23 et 24 mars c’était le Rock. Avec comme invité musical Th Da Freak. De son côté Th Da Freak prépare sa video depuis chez lui à envoyer aux élèves. Quant à moi je prépare une vidéo de 30 minutes avec tutos et extraits musicaux. J’ai fini le montage de la vidéo hier. Je dois la vérifier aujourd’hui. Puis l’envoyer. 
On commence aussi à nouveau à me contacter pour des nouvelles dates. L’ambiance est au doute, on cale des options. 
Je continue mes improvisations journalières.
https://soundcloud.com/kimgiani/kim-quarantaine-14

Nouveaux tableaux



vendredi, mars 27, 2020

Quarantaine jour 10

Voici une nouvelle improvisation pour cette période de confinement. Cela me permet de savoir quel jour on est et de me stimuler.
https://soundcloud.com/kimgiani/kim-quarantaine-10
En cette période difficile et angoissante de pandémie, j’ai besoin d’objectifs courts.
Je gère mes dates annulées. Je joue un peu, quand ça m’est possible. Je fais la collecte de certificats d’annulations de concerts afin de retrouver une probable assurance. Rien n’est certain. J’essaie aussi de déplacer certains concerts à plus tard, mais quand? J’ai aussi quatre représentations qui vont pouvoir se faire par l’enregistrement de vidéo depuis chez moi. Parfois je vais jouer en live en webcam sur les réseaux sociaux et collecte une aide. Mon exposition de dessin a été reportée à juillet. Mais comme tout est incertain et que je souhaite passer à autre chose, j’ai décidé de faire l’exposition depuis ma webcam. J’ai vendu quelques toiles ainsi. J’attends cependant la fin du confinement pour envoyer les commandes par la poste car je ne souhaite pas faire travailler inutilement des facteurs trop fortement exposés au Coronavirus. Je continue mon podcast. Je mixe des nouvelles musiques pour mes prochains disques. J’ai aussi lancé leurs sorties, très en avance, en misant surtout sur le digital. Les formats physiques étant dépendants de nos prochaines capacités à pouvoir sortir de chez nous en tant d’activités normales, magasins ouverts et commerces actifs.
J’ai donc valide la sortie de mes trois prochains albums en préparant d’autres nouvelles chansons. Du moins en terminant leurs mixages. Aujourd’hui je vais dessiner en live webcam avec Pauline de Tarragon de Pi Ja Ma. Je suis fan d’elle, je suis ravi. Je tente de préparer un mini montage de dessins pour un média, et un dessin live pour la musique de Julien de Nagard. J’ai terminé hier les montages vidéos de l’émission de musique que nous créons in situ à Montfermeil avec Cléa Vincent. Il nous reste 7 séances là bas et c’est dur de savoir quand nous pourrons finir.
Mon poscast ici https://open.spotify.com/episode/5OdJSAQdmshsSaAZbBf5zH?si=-u2iTxvWR0qr2iU1mx59gQ

mercredi, mars 25, 2020

Quarantaine 9

Mon nouvel album solo pour le 16 avril

Il s'appelle "Les sessions du Carreau capturées par Cléa Vincent".

Comme son nom l'indique c'est un album enregistré dans le studio de Cléa.
C'est aussi une session, en ce sens que c'est improvisé, d'une traite.
Comme sur la photo je joue le piano, je chante et Cléa enregistre.
12 titres disponibles en Cd et Digital. 


Voici les titres:

    1      Les sessions du carreau (feat. Cléa Vincent)   
    2       الكثبان الرملية       
    3      толка       
    4      建物と花瓶       
    5      auf einer blauen Straße       
    6      molte volte il camion       
    7      мы представляем деревья       
    8      Simon       
    9      Soulevant       
    10    Sûr que le monde       
    11    Solenn (feat. Cléa Vincent)       
    12    Les sessions du carreau reprise   

Vous pouvez le commander dès aujourd'hui en cd. Les livraisons auront lieu après le confinement, pour ne pas obliger nos postiers à travailler dans le risque.









mardi, mars 24, 2020

Quarantaine 8

Dégouté de sa disparition


1992/1994



1992/1994 on jouait en duo sous le nom simple de « Kim&Marie ». Damien a retrouvé cette photo, probablement prise par Gilles en 1993. Nous avions publié une cassette single chez Musicool, quelques titres sur des compilations pop françaises. Nos chansons n’avaient pas toujours de titres mais simplement nos initiales et un chiffre. « MK » et un numéro. Puis on a arrêté de jouer ensemble. J’ai continué en solo. Merci Damien pour cette photo 

samedi, mars 21, 2020

Le patron de la discothèque

En 1997 l’électro et la French Touch était à la mode. J’adorais Air et Daft Punk, cette musique me fascinait. Les claviers, les home studios. Et les djs. J’étais encore inscrit à la Fac, je préparais mon 5e album, j’avais déjà changé 4 fois de labels, les articles dans la presse concernant mes chansons m’étaient favorables, j’étais distribué nationalement et même dans plusieurs pays pour certains de mes disques, je jouais 15 fois par an en concert. Pourtant je n’arrivais pas à vivre de ma musique. J’avais 20 ans, j’étais à la fac pour bénéficier des bourses et je n’arrivais pas à construire une économie autour de mes chansons. Tout me paraissait laborieux et impossible. L’été j’étais particulièrement fauché. C’est une période qui n’avantage que les musiciens programmés en festivals. Ca n’était pas mon cas. Et l’été je ne percevais pas ma bourse d’études. Alors je jouais dans la rue durant la journée, en duo, avec Peggy. Nous chantions du Neil Young. Malgré tout ça ne suffisait pas à tenir l’été. Comme j’adorais la french touch et le disco, j’ai proposé mes services à un bar de nuit. Le Paris Pekin. Je crois bien que mon premier engagement comme dj etait là bas. Un bar à Bordeaux. Il fallait mixer, c’est à dire mélanger des disques entre eux, de house music, pour créer un nouveau morceau en direct. J’avais quelques disques de house et de disco. Un ami m’avait montré comment marchait une mixette, les platines, et quelques rudiments de mix. Comme j’ai appris la batterie, jouer deux disques ensemble, les caler et repérer lequel ralentir et lequel accélérer m’est apparu assez simple. Ca n’est pas suffisant pour être un bon dj. Mais c’est un début. Ma première paye de dj house était largement supérieure à ce que je gagnais comme chanteur de pop. Je me souviens de 500 francs. Pour l’époque ça équivaut à toucher 150e pour un mix ( le coût de la vie a changé ). En tant que dj on était bien payés, les sets étaient courts, le matériel son de bonne qualité, l’ambiance luxueuse, j’eus très vite envie de devenir dj. En parallèle de musicien pop, pourquoi pas? Cela dit, dj house était difficile. J’ai eu un engagement dans une discothèque où j’étais encore mieux payé mais je me suis fait virer le soir même car le patron voulait des disques pas encore sortis. On me demandait de connaître des producteurs de house, de leur prendre leurs disques, sympathiser avec. Pas facile du tout. Quelques amis dj techno me prenaient parfois pour que je démarre les soirées par de la house music, mais dans l’ensemble je choisissais de chercher des bars de nuit plus généralistes. C’est ainsi que je me faisais engager en 1998 à l’Usine, bar de Bordeaux, une fois par semaine sur la tranche minuit/5 heures du matin. Je commençais par du rock puis du rap et je finissais en house music avec des mixs. C’est là qu’un patron du lieu m’a donné une leçon d’une grande cruauté commerciale. Je passais un disque de kraut rock improbable, peut être un Stereolab super long et hypnotique. Le boss vient me voir et me dit « c’est joli ce que tu passes. J’aime bien. Mais moi, pour que je te paye, il faut que les gens consomment. Alors tu mets tout ce que tu veux tant que ça fait danser les filles. Car quand les filles dansent, les mecs veulent leur payer à boire. Et quand ils consomment, on gagne notre vie toi et moi. Et ça, ton joli morceau, c’est pas dansant ». A partir de là, et sous cet angle d’une franchise crue, j’apprenais que la house que je passais n’etait pas forcément dansante. Que l’on dansait dessus surtout si j’avais passé un Led Zeppelin juste avant. Que le rap donnait envie de danser après un titre de punk. Que tout était dansant si on savait surprendre dans la sélection. Finalement le fait que je sache caler deux disques ensemble n’était pas si important. Et surtout ce patron de bar m’avait fait un cadeau: celui de la franchise crue du monde du divertissement avec toutes ces contradictions. Cette leçon m’a servi plus tard, tant pour mes improvisations en musique live que pour le fait de me passer de set list à mes concerts, puisque je continue de fonctionner comme un dj même lorsque que je suis au poste de chanteur. Mais surtout ce patron m’a appris que nous sommes inscrits dans un écosystème économique, et si froid et atroce que ce soit, autant en parler avec franchise. Ce que je déplore dans l’industrie de la musique c’est que les producteurs n’aient jamais le courage de parler platement comme ce patron de bar. Au lieu de ça ils invoquent des raisons stupides à tout va pour ne jamais se lancer, ne jamais conclure les erreurs. Et « bidule devrait faire de l’electro » et « machin devrait chanter en telle langue ». Ils ont un avis faussé sur tout alors que les choses sont plus simples que ça: « quand les filles dansent, les mecs veulent leur offrir à boire ». Nous sommes des pions, nous musiciens, au milieu de plusieurs chemins de possibles partenariats financiers. On ne sert, économiquement, qu’à apporter de l’ambiance entre un public de travailleurs fatigués, de lieux de convivialité, de produits qui ont besoin de musiques d’accompagnement (pubs, films) et de magasins qui vendent un décorum de fantasmes. Les producteurs le savent très bien. Ils savent qu’on est là pour passer les plats. Pour garder la main sur nous ils nous flattent dans l’endroit qui nous anime, celui de la musique pour la musique, en nous promettant des moyens de la faire convenablement et la faire écouter massivement, carotte salariale à la clef. Ils ne sont pas très différents de nous gouvernants politiques, qui, actuellement, sous nos yeux, n’ont pas souhaité financer les hôpitaux, se retrouvent avec une crise sanitaires sur le dos, et continuent de nous faire travailler en nous rassurant que tout va bien, pour finalement nous confiner, puis nous faire culpabiliser d’une crise économique à venir qui serait, bien sûr, de notre faute. 
Je préfère le patron de cette boite des années 90. En une phrase il m’a appris plusieurs métiers de la musique. En 2001 je me suis consacré à vivre de la musique avec sa phrase dans la tête. Bien sûr parfois je n’ai pas envie de « faire danser les filles », et dans ce cas je sais à quel revers m’attendre. Qui plus est, cette phrase est terrible de machisme. Mais ces métiers là, ceux du divertissement, ne sont ils pas aux mains de patrons machos depuis des années? Le superbe papier de Despentes nous éclaire à ce sujet. Je retiens la phrase du boss du bar dans ma tête car il y’a du vrai. Puis je me concentre sur ce que je souhaite changer là dedans, et je croise les doigts. Depuis 22 ans. 

vendredi, mars 20, 2020

Improvisation du jour sur mon SoundCloud

https://soundcloud.com/kimgiani/kim-quarantaine-4

Les dates annulées se réorganisent doucement. Certaines sont perdues pour de bon. D’autres sont à déplacer. On ne sait quand. Les enregistrements et les sorties aussi sont dans le flou. J’enregistre des improvisations. Je joue en webcam. Hier j’ai montré mes dessins et vendu quelques-uns via webcam. En attendant la fin du confinement pour poster les toiles. Dehors il n’y a presque personne. On attend. C’est incertain. Ici et là on me propose des playlists, des choses autour du confinement. Je crois important de se donner de la discipline durant cette période. Ce ne sont pas des vacances. Surtout quand on imagine ce que traversent le personnel soignant et les malades. Or de question de considérer le confinement comme des vacances. Je trouve indécent de le prendre à la légère. Je fais mon sport à ma façon: improviser de la musique, ranger ici et là. Applaudir à ma fenêtre à 20h. 

mardi, mars 17, 2020

Avant le confinement

J’ai oublié de vous dire que mercredi dernier j’ai répété avec La Pizza, mon back band et que c’était très stimulant. Il y’a un concert prévu le 3 juin. Et j’ai un morceau très long à jouer. Mais Raphael le batteur n’est pas disponible. Ainsi j’ai demandé à Marion de Requin Chagrin de jouer la batterie.
Et je suis ravi. A terme j’adorerais jouer avec Raph et Marion, donc avec deux batteries.
Le lendemain jeudi nous étions avec Cléa au lycée de Montfermeil pour la résidence InSitu que nous avons toute l’année. Tournage, musique, sketch. Tout avance bien.
Le vendredi j’avançais sur mes toiles pour mon explication.
Puis tout a basculé. Les dates se sont annulées. J’en suis à 14 annulations. Cette crise sanitaire, je l’ai vue venir. Alors je dois dire que j’avais accumulé les engagements afin d’être sûr d’avoir mon bon nombre d’heures. Donc tout est sous contrôle pour le moment pour moi. Pourtant ce week end ça m’a déprimé. Tout ce travail de contacts, de booking, d’organisation, de création, réduit à du vide, pour un temps incertain, c’est déprimant. Mon exposition est annulée aussi. Il faut s’imaginer aussi que mars/avril est une période fournie pour les musiciens. Aussi, si elle se passe bien, elle sert de lancement pour fabriquer la période d’automne. Non seulement tout est annulé mais en plus nous travaillons désormais depuis chez nous à créer des chose sans savoir quand les proposer. Il faudra se relever. Et on y arrivera tous. Les musiciens sont soudés. Bien sûr on entend encore et toujours les producteurs se plaindre plus fort que tout le monde mais n’oublions pas que eux ont des assurances. Nous, nous allons tout re fabriquer avec nos mains. A suivre.

 Blandine, Batist, Clea
Marion, Blandine

samedi, mars 14, 2020

Annulations de concerts

Chers amis, certains de mes prochains concerts sont annulés pour cause de Coronavirus. Mais j’ai deux bonnes nouvelles: tout d’abord j’adore jouer en appartement. Chez vous. Et ce serait chouette de me programmer car je vous avoue que les annulations causent un trou dans ma trésorerie. Je peux jouer en solo, en duo (avec Cléa Vincent) et même avec mes amis si vous avez le budget. Parlons en en mp.
La deuxième bonne nouvelle c’est que je prépare une nouvelle exposition de dessins qui aura lieu au Pop Up du 26 au 31 mars. La aussi, acheter mes tableaux est une bonne idée vu le trou de trésorerie dont je vous parlais juste avant.
A vous de jouer.
PS: je ne crois pas du tout qu’un fond de soutien soutiendra les musiciens. Au mieux il soutiendra les producteurs de spectacle, sous conditions. Alors je choisis la même façon que d’habitude: transparence et bricolage. Bisous 

mercredi, mars 11, 2020

L’histoire de la musique électronique

Avec Irène Dresel et Xavier Lelievre nous étions en mini tournée pour des rencontres au lycée Camille Claudel à Soissons et Jean Macé de Chauny, autour des musiques électroniques. Xavier organise, Irene montre sa musique et je raconte l’histoire des musiques électroniques.


samedi, mars 07, 2020

Tableau et Jean Pierre Fromage

Le personnage de Jean Pierre Fromage a dix ans. En 2010, j’avais une chanson de coté depuis un moment, « les hémorroïdes » et personne pour l’interpréter. Mon répertoire, sous mon prénom « Kim » est éclectique mais pourtant je ne sentais pas être la bonne personne pour porter cette chanson potache. Alors j’ai imaginé un Brassens crado. J’ai pris un accent, une façon de jouer puis ai demandé une image à Pauline Automatique. Internet permet de créer des choses imaginaires. J’ai sorti le premier single de Jean Pierre en 2010. Il était possible de croire à un étrange chanteur vieux et  sale. Les streams ont bien tourné. Des amis ont entendu les chansons et ont eu envie d’écrire des chansons pour ce chanteur virtuel. Deux ans plus tard il avait 5 titres en plus et une demande de concert. J’ai sauté sur l’occasion pour m’acheter perruques et costumes et c’en était parti pour une série de concerts. En 2016 l’album sortait. Fromage a joué à Paris, Bordeaux, Chateauroux, Angers et hier à Saint Hilaire de Chaléons à la Motte aux Cochons, ce vieux bar des années 1920 à coté de Nantes. Il y’avait peu de monde. Les concerts de Fromage sont difficiles à quantifier en terme de jauge. Comme le personnage est viral sur internet, beaucoup de gens promettent de venir. Puis c’est tout ou rien. Hier peu de gens. Le prochain est à Paris.
J’avance aussi sur mon exposition prévue fin mars.




jeudi, mars 05, 2020

Nouvelle mission: mini conférences sur la musique

Mini, car c’est devant des classes de 30 élèves. Durant quelques rendez vous j’irai parler d’un courant musical, musique à l’appui et flanqués d’invités live, à des élèves de Chauny et Soissons. Une tournée organisée par Xavier Lelievre et La Biscuiterie. Pour ces premières rencontres j’ai parlé de la chanson française de 1920 à 2020. L’invité live était Cléa Vincent. La semaine prochaine ce sera la musique électronique de 1940 à 2020 avec comme invitée Irène Dresel. 
Hier, nous enregistrions de la musique avec Ben Yeti Lane. Qu’en ferons nous? Nous verrons. 

Nos conférences 

Ben et plein de machines